En présence du ministre des Transport, Clément Beaune, la start-up industrielle Urbanloop, qui développe depuis Tomblaine, en Meurthe-et-Moselle, un système de transport visant à faire circuler des capsules de deux places sur des rails interconnectés, vient de poser le premier rail de sa première boucle, à Saint-Quentin-en-Yvelines, en région parisienne, avec pour objectif de voir circuler des capsules pour les Jeux olympiques de Paris 2024. Concrètement, la boucle Urbanloop envisagée devra permettre de relier la gare RER A de Noisiel à la fanzone installée sur l’île de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines, soit un parcours de quelques kilomètres pour un engagement financier de l’État de 5 millions d’euros. La ligne sera exploitée par Keolis, une filiale de la SNCF, non seulement pendant les JO, mais jusqu’à 17 mois après.
Urbanloop pose le premier rail de sa première boucle
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