Après plusieurs mois de fléchissement de la production globale de boissons en Nouvelle-Aquitaine, juillet termine en hausse, toutefois à un niveau inférieur à juillet 2018. Selon la Banque de France, les marchés sont très dynamiques : le segment des eaux de table ayant particulièrement bénéficié des deux canicules. Dans le segment des boissons alcooliques, les stocks constitués en prévision du Brexit ou des décisions américaines ne pénalisent pas l’export. Les prix s’inscrivent en hausse. En revanche, la demande de vodka et de whisky diminue nettement.
