Trente-deux maires, députés, sénateurs, élus départementaux et régionaux, de gauche comme de droite, ont écrit le 2 septembre au président du groupe SNCF Jean-Pierre Farandou pour exprimer leur colère face à la suppression annoncée de la liaison Ouigo entre Paris et Nancy. Évoquant un manque de rentabilité, l’entreprise de transport ferroviaire a, en effet, annoncé la fin des TGV low cost sur ce tronçon pour décembre prochain. "En tant que groupe public bénéficiaire des moyens de l’État dans le cadre du plan de relance à hauteur de plusieurs milliards d’euros, une telle décision de suppression de deux allers-retours quotidiens, si elle venait à être confirmée, représenterait une nouvelle dégradation du service public […] et serait assimilée à un profond mépris du travail engagé et des territoires que nous représentons," écrivent le maire de Nancy Mathieu Klein, la présidente du Département de Meurthe-et-Moselle Chaynesse Khirouni ou encore le président de la Région Grand Est Jean Rottner.
Fin des TGV Ouigo Paris-Nancy : le PDG de la SNCF s'attire les foudres des élus lorrains
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