La start-up toulousaine Louis, qui fabrique du mobilier de bureau écoresponsable pour les entreprises, expérimente le congé menstruel depuis le 8 mars. Jusqu’à la fin de l’année, le personnel féminin de la société souffrant de dysménorrhée (règles douloureuses) peut poser un jour de congé payé supplémentaire par mois, sans perte de salaire ni justificatif médical. “Il suffit d’envoyer un e-mail à son manager pour le prévenir, indique la start-up. Tout se joue sur la confiance. Dans le cas où une personne est en mesure de faire du télétravail, elle peut demander de rester télétravailler chez elle au lieu de poser une journée. Cela permet à chacune d’aménager ses horaires de travail et de s’organiser comme elle l’entend.”
