Depuis le 18 mars, le groupe chimiste SNF (3,4 Md€ de CA ; 6 500 salariés dont 1 350 à Andrézieux-Bouthéon dans la Loire) est plongé dans une profonde crise sociale. La CGT et la CFDT ont alerté la direction sur « un danger grave et imminent » en lien avec la propagation du coronavirus pour que les salariés puissent faire valoir leur droit de retrait. Mais pour le PDG du leader mondial du polymère pour le traitement de l’eau, la récupération assistée du pétrole et les réactifs pour mines, Pascal Rémy, toutes les mesures ont été prises pour assurer la sécurité des salariés et maintenir ainsi « une activité vitale ».
Saint-Étienne
Coronavirus : SNF ne peut pas arrêter sa production
Coronavirus : SNF ne peut pas arrêter sa production
Publié le
1 min de lecture
A lire dans le secteur Chimie
En Auvergne Rhône-Alpes
Ailleurs en France
1 min de lecture