« Nous ne sommes qu’en partie arrêtés », explique Emmanuel Chevallier, président du groupe de manutention industrielle et navale bretonne SPRD. « Nos sites de Rennes et Lorient sont à l’arrêt, faute de clients qui nous accueillent sur leurs sites. Mais nous serions prêts à reprendre », indique le dirigeant. Le site brestois, qui travaille sur des chantiers de sous-marins notamment, continue, lui, de tourner, même au ralenti. « Pour poursuivre, nous avons mis en place les gestes barrières ; nous avons réussi, après de nombreux efforts, à trouver des EPI (équipement de protection individuelle, NDLR) », note-t-il. S’il sent un frémissement d’activité, le dirigeant estime que la reprise complète dans l’industrie ne pourra se faire qu’une fois toute la chaîne prête. « Il faut attendre, a minima, une à deux semaines encore. »
Coronavirus : SPRD en partie à l’arrêt par manque de clients
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