Le marché de la pêche ne représente actuellement qu’un quart de son activité habituelle. Seuls 30 à 35 % des navires sont en mer. « Ce sont principalement des côtiers. Les hauturiers, à 80 %, restent à quai », explique Yannick Calvez, le président du Comité des pêches du Finistère. En cause, les principaux marchés de ces navires : l’Espagne et l’Italie, des pays eux aussi durement touchés par la crise sanitaire. En Finistère, aucune reprise massive de la pêche ne sera envisageable avant que ces pays ne sortent de la crise, selon le président du Comité des pêches.
Coronavirus : la pêche finistérienne attend une reprise en Espagne et en Italie
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