« Les jeux vidéos sont nés dans les années 1950. Au début, ce n’était que des expériences de laboratoire. lIs sont arrivés sur le marché à partir des années 1970. Et vous savez quoi ? Cet âge d’or me manque autant qu’à vous. Mais n’ayez crainte car nous allons bientôt retrouver tous ces jeux. »
C’est sur cette promesse que commence la vidéo pitch de la rétroconsole Gamebuino version 2017. Trois ans après le lancement du premier modèle, le stéphanois Aurélien Rodot revient avec la Gamebuino META.
Fort de son succès produit (3 000 unités vendues dont 90 % à l’export), l’ancien étudiant de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne a désormais des ambitions de chef d’entreprise. De la petite start-up de fin d’étude, il a aujourd’hui structuré son projet en créant la société Aadalie installée dans l’espace de coworking “Le Village by CA” à la cité du Design de Saint-Etienne.
Apprendre à coder avec la Gamebuino
Au delà de sa fonction de console de jeux, la Gamebuino propose des fonctionnalités totalement originales et qui font sa popularité. Ce projet éducatif et communautaire permet d’apprendre à coder en créant ses propres jeux et en les partageant avec les autres gamers.
« Avec la Gamebuino, nous voulons rendre la programmation facile et accessible n’importe ou », confirme Aurélien Rodot qui présente ainsi son concept basé sur la philosophie “open source”.
Une console de jeux made in Loire
100 % made in Loire, de la conception à la fabrication, la nouvelle Gamebuino META est un petit bijou de technologie et d’innovation que son créateur entend commercialiser à 6 000 unités sur 2018. Un chiffre qui devrait permettre à Aadalie d’atteindre les 500 000 euros de chiffre d’affaires.
