Clarisse Le Court, dirigeante de Claripharm, spécialisée dans la santé intime des femmes, a été reçue le 14 novembre au Parlement européen par la directrice de cabinet de la présidente. L’objectif de cette intervention était de demander la modification du règlement européen pour que les protections hygiéniques soient reconnues comme dispositif médical, comme dans des pays comme les USA, le Canada ou le Japon, tandis que l’Europe les considère comme des produits de grande consommation. "La conséquence, ce sont des risques pour la santé des femmes et une distorsion de marché pour les entreprises européennes qui doivent se faire certifier pour pénétrer les marchés étrangers quand les entreprises étrangères entrent avec des produits non-contrôlés", affirme la dirigeante, qui était accompagnée d’élues bretonnes.
