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Carabox transforme les places de parking souterrain en box fermés
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Carabox transforme les places de parking souterrain en box fermés

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Fondé par Olivier Airiau en plein confinement, Carabox propose aux propriétaires de places de parking souterrain de les transformer en box fermé. Une initiative tout-en-un qui recouvre une triple dimension de sécurité, de stockage et de valorisation du bien.

— Photo : DR

Destiné aux propriétaires de places de parking en souterrain, Carabox propose un service clé en main pour transformer son parking individuel en box fermé. L’initiative a vu le jour en plein confinement et commence à séduire les propriétaires attirés par l’envie de disposer d’un garage fermé. "Transformer sa place de parking en box permet à la fois de sécuriser les biens qui y sont entreposés, valoriser son bien immobilier et faire baisser les cotisations d’assurances", détaille Olivier Airiau, fondateur de cette jeune société lyonnaise.

Plus d’un million de places transformables

En lien avec un maçon partenaire pour la réalisation des travaux, Olivier Airiau propose un accompagnement auprès du syndic et du conseil syndical pour la réalisation du dossier de travaux. "On monte le dossier avec le client en proposant des plans de l’installation et en gérant les démarches auprès de la copropriété", précise-t-il. Les portes de garages proviennent du fabricant ligérien Doitrand et les blocs de béton cellulaires sont fabriqués à l’Isle-d’Abeau (Isère).

Sur un marché lyonnais estimé à 140 000 places de parking, Carabox dispose d’une forte marge de manœuvre. Surtout, la société ne se cantonne pas à la métropole et adresse déjà le marché francilien. "Il y a potentiellement un million de places de parking en Île-de-France", explique Olivier Airiau, qui lorgne également le Sud de la France et Strasbourg. Une quinzaine de chantiers a déjà été réalisée depuis le mois de mai, et autant sont prévus sur le premier trimestre 2021.

Évangéliser le marché

Alors que Carabox fait face à deux concurrents en Île-de-France, tout est à faire à Lyon. "Le marché est vierge, il faut d’abord se faire connaître et évangéliser le concept", souligne-t-il. Pour faire face à l’augmentation de la demande, le dirigeant pense déjà recruter un maçon pour accélérer la réalisation des chantiers à Lyon. Un autre recrutement à Paris suivra en fonction des carnets de commandes. "Notre volonté est d’atteindre 50 chantiers d’ici juin et ensuite de réaliser 100 à 150 projets par an pour la deuxième année", précise Olivier Airiau, qui compte à terme ouvrir une antenne par zone d’intervention. En attendant, il prescrit aussi sa solution auprès des professionnels de l’immobilier. "Les agents immobiliers sont friands de ce type de solution puisque cela leur permet de valoriser, à peu de frais, le standing d’un bien en vente". Pour une place aux dimensions classiques, le prix de la transformation est de l’ordre de 3 000 euros.

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