En créant Vivrosec à 24 ans, Julien Fauché avait l’ambition de faire de l’entreprise un nom reconnu dans le secteur du traitement de l’humidité des bâtiments pour particuliers et professionnels. En début d’année, l’entreprise employait 7 personnes, avec pour ambition de s’étendre dans d’autres départements. C’est désormais chose faite et l’entreprise, en plein développement, couvre quasiment trois régions. Le chiffre d’affaires de 400 000 euros en 2018, devrait grimper significativement cette année et Vivrosec compte aujourd’hui 10 salariés.
Pays de la Loire, Bretagne et région Centre
Depuis la naissance de Vivrosec en 2015, l’objectif de Julien Fauché est d’étendre sa couverture commerciale. D’Angers, l’entreprise rayonne dans les Pays de la Loire, en incluant également la Vienne et les Deux-Sèvres. L’ouverture cette année d’agences en Bretagne lui permet d’aller maintenant encore plus à l’ouest : « Nous couvrons donc aujourd’hui en totalité les Pays de la Loire et les départements bretons. Nous sommes aussi présents dans l’Indre-et-Loire, l’Orne et l’Eure et Loir. Nous allons boucler cette région Centre prochainement avec les autres départements, le Loiret, le Cher, le Loir-et-Cher et l’Indre. Nous avons aussi structuré l’entreprise en intégrant des personnes sur des postes à responsabilité » Julien Fauché, épaulé dans le développement de Vivrosec par Michel Collet, cofondateur de la chaîne de magasin de meubles Hémisphère Sud, a ainsi intégré un directeur technique et un animateur commercial. L’entreprise, auparavant trop à l’étroit, dispose maintenant de 160 mètres carrés de bureaux et surtout d’un dépôt. « Nous sommes en pleine croissance. Nous étions réellement trop à l’étroit et les locaux précédents n’étaient plus du tout adaptés », confesse le jeune dirigeant.
Outre un développement de sa couverture commerciale « en escargot », en partant d’un épicentre à Angers, Vivrosec a commencé aussi à s’implanter ailleurs, cette fois en franchise, pour laquelle Julien Fauché a fixé un droit d’entrée à 3 000 euros. Une première a déjà ouvert à Marseille, et tout prochainement, deux autres vont s’implanter dans les deux départements alsaciens du Haut-Rhin et du Bas-Rhin
