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Le poids économique de la course au large a été multiplié par 3 en dix ans
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Le poids économique de la course au large a été multiplié par 3 en dix ans

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Le port de Lorient La Base accueille 3 des 6 trimarans Ultims du circuit — Photo : Bertrand Tardiveau

Avec 122 teams et 31 bateaux en plus depuis 10 ans, dont une moitié d'Imoca, la course au large fait progresser son influence économique sur le pays lorientais. Irriguant un bassin qui compte près d'un millier d'emplois, le secteur d'activité génère environ 35 millions d'euros de retombées locales annuelles. " Cet impact a été multiplié par 3 depuis 2012, alors même qu'il ne tient pas compte de la construction des bateaux qui peut être estimée entre 7 et 12 millions d'euros selon les années ", résume Gilles Poupard, directeur général de l'agence Audelor, à l'origine de l'étude. Outre l'accueil des Class40, Figaros et Minis, l'écosystème lorientais a nourri une forte concentration des Imoca (19/47) et des Ultim (3/6), avec des budgets annuels moyens de 2,3 millions d'euros pour les premiers et de 4,5 millions d'euros pour les seconds. Revers de la médaille, le site de Lorient La Base arrive désormais à saturation.

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