Les desserts lactés ne feraient plus recette. L’usine du groupe nantais Eurial à Château-Salins (Moselle) en sait quelque chose. Elle a vu ses volumes de transformation laitière chuter de 40 % ces dix dernières années. Le site et ses 210 salariés misent donc sur un nouveau cheval. Six millions d’euros viennent d’être investis pour des produits bio, à base de lait de chèvre ou de lait végétal sans soja. Un marché qui bénéficierait d’une croissance à deux chiffres, selon Eurial (4 000 salariés, 2,1 Md€ de CA en 2017.)
Eurial mise sur les desserts végétaux
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