Les entreprises, quelles que soient leur taille et leur activité, qui gèrent un parc de véhicules (pour leurs cadres, leurs techniciens, leurs commerciaux), réfléchissent désormais à l’utilisation de véhicules hybrides ou électriques. Ce choix répond aux nouvelles attentes écologiques de la société et valorise leur image de marque vis-à-vis de leurs clients et de leurs collaborateurs.
Les grandes entreprises qui gèrent directement ou indirectement un parc de plus de 100 véhicules légers auront, à compter du 1er janvier 2022, une obligation légale de renouveler 10 % de leur flotte avec des véhicules à faibles émissions. Les entreprises plus petites ont également un intérêt à opter dès à présent pour les nouvelles motorisations électriques afin d’améliorer le TCO (Total Cost of Ownership - coût total de possession) de leur flotte en bénéficiant des avantages fiscaux liés à ce type de véhicules. Toutefois, l’électromobilité recouvre des enjeux majeurs en termes d’organisation, de management, et de profitabilité. La décision du basculement doit être mûrement réfléchie.
Comment renouveler tout ou partie de sa flotte, pour quels modèles et quels usages, avec quelles contraintes (autonomie, installation de bornes de recharge) et en espérant quel retour sur investissement ? Comment gérer ce projet en interne pour en faire un outil de motivation RH et de communication marketing ?
Pour répondre à toutes ces questions, Le Journal des Entreprises organise le 10 juin une table ronde en ligne avec des experts de l’électromobilité et le témoignage d’un chef d’entreprise nantais qui a fait ce pari. L’occasion de comprendre concrètement ce que signifient pour une PME une telle décision et les bénéfices immédiats qui en découlent.
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