Suite à une interview dans la presse, le nom de la start-up Two-i est sorti, celui du FC Metz aussi. Le journaliste Olivier Tesquet, dans Steetpress aurait affirmé des tests d’un dispositif de reconnaissance faciale au stade Saint-Symphorien. « J’aimerais élever le débat, qui est très sain. Le cadre légal est très strict et nous sommes en conformité avec les lois RGPD. Nous n’avons réalisé que des tests techniques sur nos employés », tempère Guillaume Cazenave, le cofondateur. « La technologie est là. Elle doit respecter la loi mais ne doit pas être seulement l’apanage de la Chine, des États-Unis ou d’Israël. Les start-up françaises doivent pouvoir tirer leur épingle du jeu », ponctue le dirigeant de la start-up de 18 employés.
