Le TGI de Strasbourg, qui devait statuer le 24 octobre sur la liquidation de l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve, se donne finalement un nouveau délai de 15 jours. Le temps de tenter de démêler la situation entre Altifort et Vallourec, ce dernier refusant d’accéder aux demandes du potentiel repreneur. Mais aussi sans doute, d’examiner une nouvelle offre de reprise, émanant de l’industriel valenciennois Pascal Cochez (Groupe Cochez, 200 salariés, 30 M€ de CA). Il se propose de rassembler autour de lui des volontaires pour tenter de sauver Ascoval, et en premier lieu, l’une des toutes premières entreprises à s’être montrées intéressées par le site. Il a jusqu’au 7 novembre pour monter une offre convaincante.
