"Hors de question". C'est à peu près en ces termes qu'a été accueillie la demande d'Altifort, potentiel repreneur du site Ascoval de Saint-Saulve (Nord), qui proposait à Vallourec, l'actuel propriétaire de l'aciérie, de participer aux investissements nécessaires pour sa relance. Des investissements estimés à 35 M€ par Altifort et ses soutiens, mais à 51 M€ par Vallourec, qui juge cet effort exorbitant, et sans garantie de succès. Après un sursis de cinq semaines obtenu fin septembre, les juges doivent trancher le 24 octobre sur la reprise, ou non, du site et de ses 280 emplois.
L'espoir d'une reprise s'éloigne pour Ascoval
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