Créée en 2018 par Guénolé Mathias-Laot, ancien manipulateur en radiologie, la start-up Sysark, basée à Vandœuvre-lès-Nancy, a mis au point une technologie robotique permettant de préserver les préparateurs et les patients contre la manipulation de produits radioactifs. Issue du Centre de recherche en automatique de Nancy, maturée par la SATT Sayens, qui a investi 233 000 € pour la conception d’un robot en vue d’une mise sur le marché, cette technologie fait aujourd’hui l’objet d’un contrat de licence : « Sysark vise à devenir le leader de la robotisation de la préparation de médicaments radioactifs », indique la SATT dans un communiqué.
