Le concepteur de navettes électriques autonomes EasyMile (220 salariés dont 150 dans la Ville rose ; CA 2019 : 18 M€) vient de réaliser ses premières opérations de conduite supprimant complètement l'opérateur à bord du véhicule en Allemagne et en Norvège. Deux pays qui correspondent à des zones d'implantation prioritaires dans la stratégie de la société à l'international. La start-up toulousaine avait déjà passé ce cap dans deux pays, la France et les Etats-Unis. Il y a quelques semaines, EasyMile a aussi obtenu un important contrat aux Etats-Unis, avec le projet d'un minibus scolaire autonome déployé d'ici deux ans dans la ville de Houston.
