Le courtier Cbp a recruté 114 nouveaux collaborateurs depuis janvier
# Finance # Ressources humaines

Le courtier Cbp a recruté 114 nouveaux collaborateurs depuis janvier

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Le courtier européen Cbp a recruté depuis le début de l'année 114 nouveaux collaborateurs pour son site de Saint-Herblain qui emploie 700 personnes.

— Photo : Le Journal des Entreprises

Un prêt immobilier sur quatre en France, un sur dix en Europe passe entre les mains des équipes du courtier Cbp. Spécialisé en assurance des emprunteurs et, depuis peu, en prévoyance individuelle, le groupe réalise un chiffre d'affaires de 126, 4 millions d'euros pour un effectif de 700 personnes. Basée à Saint-Herblain, l'entreprise a recruté 114 nouveaux collaborateurs depuis janvier. Ce qui correspond à une création nette de 60 postes si l'on tient compte des départs. « Notre croissance, la saisonnalité de notre activité et le phénomène des renégociations rendent nécessaires d'avoir un important volet de gens en CDD que nous titularisons le plus souvent », explique Yves Gangloff, président du directoire du groupe Cbp. « Cela a été compliqué de recruter un tel volume en si peu de temps, d'autant que notre domaine d'activité ne s'apprend pas à l'école. Nous avons publié des annonces et organisé un job dating pour recruter des bac + 2 banque et assurance pour les postes de gestionnaires, ainsi que des personnes plus expérimentées aimant le travail de dossier et d'analyse », complète Anne Ceruti, directrice des Ressources humaines. Les nouvelles recrues bénéficient d'un parcours de formation dispensé en grande partie en interne.

Académie des managers

Le groupe a en effet créé, dans ses locaux, une école entièrement dédiée à la formation et à l'accompagnement de ses collaborateurs. Le groupe a également mis sur pied une « Académie des managers » pour former ses dirigeants de demain au travers de huit journées de formation annuelle.

Une entreprise « éclairée » plutôt que « libérée »

Plus généralement, Cbp se veut une entreprise « éclairée » plutôt que « libérée » car « nous avons des obligations de traçabilité et réglementaires qui nous imposent d'unifier nos process », explique Yves Gangloff. L'entreprise a néanmoins mis en place une démarche d'amélioration continue faisant appel à l'intelligence collective, à l'autonomie, à la responsabilité des salariés et revendiquant le droit à l'erreur. Un indicateur de bien-être mesure ainsi tous les matins le moral des salariés, des cartes d'amélioration permettent de remédier aux dysfonctionnements qui compliquent inutilement le travail quotidien et des salariés ont été formés au « codéveloppement », une méthode d'animation de groupe dans la durée fondée sur l'intelligence collective.

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