Au sein des tribunaux de commerce de la Loire et de la Haute-Loire, où l’activité a repris de façon progressive mi-mai, l’impact de la crise sanitaire sur les défaillances d’entreprises se fait encore attendre. Qu’il s’agisse des procédures collectives (sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire), ou des procédures préventives (mandat ad hoc et conciliation), qui elles sont amiables et confidentielles, le nombre de celles déposées auprès des greffes depuis la mi-mars s’est en effet révélé très faible.
Les tribunaux de commerce peu sollicités
Publié le
1 min de lecture
A lire dans le secteur Finance
En Auvergne Rhône-Alpes
Ailleurs en France
1 min de lecture