Interrogé le 27 juillet à l’Assemblée nationale par la députée La République en marche Anne-France Brunet, Nicolas Hulot s’est dit opposé au projet de conversion de la centrale thermique à la biomasse. « Les centrales qui se convertissent à la biomasse « donnent un rendement énergétique faible et entraine un problème d’utilisation massive du bois qui peut conduire à la déforestation », a-t-il justifié. « L’avenir de la biomasse est à l’utilisation d’installations plus petites qui fonctionnent avec des déchets », explique-t-il. La plus puissante des centrales thermiques de France teste actuellement la biomasse et espère se convertir en 2018.
La centrale thermique de Cordemais fait vivre 426 salariés et 256 salariés de prestataires.
Interrogé sur le sujet cet été à l'Assemblée nationale, le ministre de la Transition écologique et solidaire s'est dit opposé au projet actuel de la centrale thermique EDF de se convertir à la biomasse.
