L’énergéticien français vient de signer une convention pour une durée de 3 ans avec l’IRT Jules Verne. L’ambition est d’apporter de nouvelles solutions pour déconstruire ses installations nucléaires et gérer les déchets radioactifs. Ce n’est pas la première fois que les deux entités font force commune. Le projet Fetch, lancé en avril 2021 et terminé fin 2022, en est un exemple. Ce programme visait à automatiser l’extraction des tubes de force de la cuve du réacteur de la centrale de Brennilis (Finistère). La faisabilité industrielle de cette opération, exécutée par un robot, a été démontrée. Par la même occasion, EDF rejoint le conseil d’administration de l’IRT Jules Verne. "Nous nous positionnons sur plusieurs filières dont les deux principales sont les mobilités et l’énergie. C’est donc à mon sens naturel que EDF vienne prendre sa place de membre clé aux côtés d’autres locomotives telles qu’Airbus, Airbus Atlantic, Daher, Naval Group ou Forvia", explique dans un communiqué Stéphane Cassereau, directeur général de l’IRT Jules Verne.
