Le champion en titre, l’équipe à battre, c’est Veolia. C’est elle et ses 200 salariés-athlètes qui avaient remporté le plus de médaille d’or à la dernière édition des Jeux mondiaux du sport d’entreprise, à Majorque (Espagne) il y a deux ans. Il reste quelques places disponibles en badminton, volley-ball ou encore course à pied pour cette seconde édition des Jeux qui se tient à La Baule (Loire-Atlantique), du 23 au 27 mai.
400 entreprises internationales en compétition
De l’Italie au Cameroun, en passant par l’Inde, l’Iran ou la Norvège, près de 6 000 sportifs de 50 nationalités différentes venus de 400 entreprises se donnent rendez-vous pour cet événement organisé par la Fédération française du sport d'entreprise (20 salariés), dont la mission est d’inciter et de développer la pratique sportive des salariés dans les entreprises.
« Ceux qui viennent du plus loin sont des fonctionnaires de collectivités du Népal », indique le président de la FFSE Didier Besseyre.
20 entreprises locales dans la course
Au niveau local, une vingtaine de structures se retrouveront sur les terrains de sports tels que la CCI Nantes Saint-Nazaire, CIC Ouest, Aéroport du Grand Ouest, mais aussi les chantiers STX, Europcar, Airbus, Proselis, ou encore la raffinerie Total de Donges. Elles affronteront peut-être des équipes de Dassault, Nissan, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Aviva, Orange, Bouygues, Carrefour, etc..
Un événement à 5 M€
Certaines entreprises présentent juste une équipe de golf, d’autres s’inscrivent à presque toutes les compétitions. Il y en a 25 en tout : tennis, football, rugby à sept, cyclisme, voile, polo, beach volley, etc.
L'organisation de la manifestation a nécessité 5 millions d'euros d'investissement et la mobilisation de 500 bénévoles. La prochaine édition devrait avoir lieu à Athènes (Grèce) en 2020.
