Après avoir ouvert 16 nouvelles agences en 2020, Générale des Services poursuit sur sa lancée avec la signature récente de 7 nouvelles implantations. Le réseau angevin de services à la personne compte désormais plus de 75 agences et emploie environ 2 500 personnes, soit 1 400 à 1 500 équivalents temps plein. " Nous avons structuré la tête de réseau pour nous renforcer et accélérer le développement, indique Didier Château, président de Générale des Services. D’ici 18 mois ou au maximum deux ans, nous atteindrons la barre des 100 agences. Nous avons travaillé avec une société de marketing pour déterminer les possibilités d’implantations. Il reste environ 260 zones à couvrir en France. "
Fort démarrage à Mayotte
Présent désormais dans toute la France, avec parfois plusieurs agences dans une même ville, le réseau angevin voit arriver de plus en plus de candidats à la franchise. "Parmi nos nouveaux franchisés, explique Didier Château, nous avons des concurrents qui nous rejoignent, des indépendants qui veulent intégrer un réseau ou des gens en reconversion. La crise a en effet accéléré les changements de carrière. " Certains, qui possèdent déjà une agence, en développent aussi parfois une autre, comme Adeline Ferron-Gauthier et Mélanie Boré, installées à Ancenis, en Loire-Atlantique, qui ouvriront cette année une seconde agence à Beaupréau, en Maine-et-Loire. " Nous sommes aussi implantés à Mayotte depuis fin 2019, précise Didier Château, où nous avons enregistré un fort démarrage, et une nouvelle franchise ouvre cette année sur l’île de la Réunion. "
Générale des Services, qui a approché en 2020 les 30 millions d’euros de chiffre d’affaires, accompagne aussi son développement cette année avec un nouveau logo, un changement de façades de ses agences et un nouveau site internet qui sera opérationnel en septembre. Une agence va ouvrir également en 2021 à Annemasse, en Haute-Savoie, et d’ici quelques années, le franchisé savoyard envisage d’en implanter une seconde en Suisse. Ce serait alors le premier pas du réseau angevin hors des frontières françaises. " Nous n’avons pas particulièrement de stratégie de développement à l’étranger, confie Didier Château, mais cela se fera selon les opportunités. En France, le potentiel est déjà très important. Nous sommes dans le top 10 des entreprises de services à la personne, où le leader pèse moins de 1 % du marché. La marge de progression est donc phénoménale. Avec une part des prestations liées à la dépendance qui devient notre principal créneau, puis qu’elles représentent désormais plus de 55 % de notre activité."
