En 2019, la demande placée de bureaux a dépassé le seuil des 125 000 m², niveau qui n’avait pas été atteint depuis 2011, révèle l’Agence d’urbanisme de la région nantaise. Le marché tertiaire nantais a fait un bond de 21 % par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. Dans le détail, 266 transactions ont été enregistrées en 2019, dont 23 de plus de 1 000 m². Plus de 60 % des surfaces sont commercialisées en périphérie, dont 30 % dans le nord ouest et 18 % dans le nord est. Par rapport aux 5 autres métropoles (Lyon, Lille, Toulouse, Aix-Marseille, Bordeaux) Nantes bénéficie du plus fort taux de rendement prime (4,75 %) mais aussi du taux de vacances (moins de 3 %) et de stock immédiat (55 000m²) le plus faible.
