Série de tests prometteurs pour les poches pour huîtres réversibles du vannetais Nodus Factory (12 salariés, 600 000 euros de chiffre d’affaires). Le syndicat conchylicole du traict de Pen Bé-Mesquer (Loire-Atlantique) a sollicité le Syndicat mixte pour le développement de l’aquaculture et de la pêche (Smidap), basé à Nantes, pour vérifier l’intérêt potentiel de nouveaux systèmes et outils de production. Le système de la startup vannetaise présente des taux de mortalité de 3 %, soit jusqu’à 3,4 fois moins que les systèmes classiques. Les taux de chair sont plus élevés de 22 à 23 % et les rendements de 6 à 9 %, note en substance l’étude. Les performances à l’élevage sont comparées à celles de populations d’huîtres creuses élevées en poches classiques. "Nous savions que le système donnait de très bons résultats notamment en termes de pénibilité, mais pas à ce point-là", réagit Yves Laurant, dirigeant de l’entreprise d’ingénierie spécialisée dans la connectique textile pour le levage, l’industrie, l’aquaculture. Basé jusqu’à peu à Sarzeau, Nodus Factory a déménagé récemment zone de Laroiseau, à Vannes.
L'innovation de Nodus Factory divise la mortalité des huîtres par trois
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