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La bonne santé des industries des sciences du vivant sur la Côte d'Azur
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La bonne santé des industries des sciences du vivant sur la Côte d'Azur

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Arômes et parfums, pharmaceutique, génie biomédical… les sciences du vivant sont un secteur dynamique dans les Alpes-Maritimes et poursuivent leur progression. En attestent les chiffres que vient de publier l’observatoire économique Sirius-CCI, en partenariat avec la French Tech Côte d’Azur.

— Photo : Olivia Oreggia

313 : c'est le nombre d'établissements qui composent le pôle sciences du vivant dans les Alpes-Maritimes. Ils sont principalement implantés dans le bassin grassois qui compte à lui seul 110 entreprises, générant 1,4 milliard d'euros de chiffre d’affaires et 4 718 emplois. L’industrie aromatique est logiquement en tête (Charabot, Mane et fils, Expressions parfumées…).

3,1 milliards d’euros : c'est le chiffre d’affaires généré par la filière en 2017, dont 55 % à l’export (soit 1,7 milliard d'euros).

11 300 personnes sont employées dans ce secteur sur le territoire. Les perspectives sont positives puisqu’un tiers des entreprises répondantes (153 au total) prévoit d’embaucher au cours des prochains mois. Parmi elles, une sur quatre est spécialisée dans l’industrie aromatique.

3 900 personnes travaillent dans l’industrie pharmaceutique, majoritairement répartie entre Carros et la Plaine du Var (Virbac, Arkopharma) et la technopole de Sophia-Antipolis.

82 % des entreprises du pôle Sciences du Vivant déclarent être indépendantes.


6 nouvelles entités sont venues étoffer le secteur en 2017, principalement spécialisées dans le génie biomédical et l’industrie pharmaceutique, tout comme les jeunes pousses installées au cours de ces trois dernières années.

(Enquête menée par l’observatoire économique Sirius-CCI, en partenariat avec la French Tech Côte d’Azur, en juillet 2018)

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