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La nouvelle cible de Cadeau Maestro : les professionnels
Loire # E-commerce # Investissement

La nouvelle cible de Cadeau Maestro : les professionnels

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A l'occasion de l'inauguration de ses nouveaux locaux, ce jeudi 13 octobre, l'e-commerçant ligérien a levé le voile sur ses ambitions de croissance. Après les particuliers, il ouvre son activité aux professionnels.

— Photo : Le Journal des Entreprises

L’e-commerçant ligérien, spécialiste du cadeau original (ou gadget…) vient de terminer, et d’inaugurer, la construction de ses nouveaux locaux (1.800 m²), installés à Veauche.

Grâce à ce nouveau site, 2.500 commandes pourront ainsi être traitées chaque jour, contre 800 sur l’ancien bâtiment. Un investissement d’1,2 million d'euros environ qui permettra à Sylvain Bruyère et à sa compagne, Charline Sagnard, dirigeants et fondateurs, en 2009, de l’étoile montante d’e-commerce stéphanois, de sécuriser leur croissance (+56% sur le dernier exercice). Une croissance tirée par l’activité historique de l’entreprise mais aussi par le lancement très récent de nouveaux services destinés aux professionnels.

Filiale logistique

Camalo, a ainsi été créée il y a quelques mois. Cette filiale logistique est destinée aux marques cherchant à vendre directement à leurs clients finaux, sans passer par l’éventail très large des revendeurs d’e-commerce (dont Cadeau Maestro fait justement partie). « Aujourd’hui, nous sentons que c’est une tendance lourde. Camalo a pour l’instant seulement deux clients, Cadeau Maestro et Le Droit de perdre (jeux de société ndlr). Nous facturons 2,20€ par commande et nous espérons atteindre 1M€ de chiffre d’affaires d’ici 2/3 ans. Nous avons le savoir-faire et nous avons investi 100.000€ dans un ERP pour être ultra-performant», confie Sylvain Bruyère.

Autre service proposé à cette nouvelle cible des professionnels: le lancement d’un site web dédié aux cadeaux d’entreprises, complété d’un investissement de 10 000 euros dans une machine de gravure laser permettant une personnalisation à la demande. « À terme, l’objet publicitaire pourrait peser 10% de notre chiffre d’affaires ».

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