« Le partenariat 2016-2018 est un grand succès. Il nous a permis d’adapter nos process respectifs et nos modes de collaboration », estime Jean-Paul Fèvre, le président de PAT (CA 2017 : 2 M€). Pour le dirigeant du spécialiste lorraine de la production de molécules rares, la collaboration lancée avec le géant mondial de la chimie, l'allemand BASF (CA : 64,5 milliards d'euros ; effectif : 115 000), se poursuit de manière logique : « Les travaux entrepris ensemble ouvrent de belles perspectives pour proposer des solutions de biocontrôle efficaces ». C'est en 2016 que les deux structures ont entamé leur collaboration, guidées par la volonté de trouver des produits alternatifs aux pesticides pour l'agriculture. « Avec les évolutions du climat, la recherche sur les maladies fongiques est un enjeu fort pour les agriculteurs et les filières agricoles. Les chercheurs de PAT et BASF travaillent en commun et ont harmonisé leurs capacités de recherche grâce au premier accord que nous avions signé en 2016. Ce partenariat renouvelé est porteur de nouveaux espoirs pour découvrir des ingrédients actifs naturels provenant de PAT », estime Jean-Marc Petat, directeur agriculture durable chez BASF « division agro » en France.
Le spécialiste lorrain de la production de molécules rares, PAT, vient de renouveler l'accord de recherche qui le lie à BASF pour développer des molécules naturelles pour l'agriculture.
