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Depuis son nouveau siège, VMI part à la conquête des Etats-Unis
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Depuis son nouveau siège, VMI part à la conquête des Etats-Unis

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Le fabricant de pétrins VMI a récemment pris ses quartiers dans ses nouveaux locaux dans le Nord-Vendée. L'entreprise qui bénéficie d'une croissance soutenue depuis plusieurs années va ouvrir une filiale aux Etats-Unis dans les semaines à venir.

— Photo : Le Journal des Entreprises

"L'ensemble du personnel a intégré les nouveaux locaux le 28 août dernier", indique Dominique Denoël, P-dg de cette entreprise de 227 salariés implantée à Saint-Hilaire-de-Loulay, dans le Nord-Vendée. L'entreprise, qui était jusqu'ici installée à Montaigu, fabrique des pétrins pour l'industrie agroalimentaire, cosmétique ou pharmarceutique.

Croissance proche de 10%

10 millions d'euros ont été investis dans le déménagement de l'entreprise. Il fallait de la place à cette entreprise pour soutenir sa croissance : le chiffre d'affaires est attendu en hausse de 7% ( à 57 millions d'euros) après avoir déjà augmenté de 10% l'an dernier. Le résultat net, lui a augmenté de 12% l'an dernier ( 5,5 millions d'euros).

Surface équivalente mais mieux organisée

"Les nouveaux locaux font 2.600 m² pour les bureaux, 700m² pour le laboratoire et 10.000m² pour l'atelier de production. Nous avions peu ou prou la même surface" rappelle Dominique Denoël. Mais les extensions de l'ancienne usine s'étaient faites au gré des achats et des entreprises mitoyennes. aujourd'hui, l'organisation en ligne est bien plus efficiente et surtout elle reflète nos ambitions. Nous avons des capacités d'extensions significatives", poursuit le dirigeant.

Filiale aux USA

Une capacité d'extension primordiale à l'heure où le fabricant de pétrins ouvre une filiale aux Etats-Unis. Elle sera composée de deux personnes, et très rapidement trois. Ce poste avancé de l'entreprise aura pour mission de développer les ventes l'après-vente "sur un marché où nous pouvons avoir une plus grande place", prédit Dominique Denoël. VMI, qui appartient au groupe nantais Bretèche, va pouvoir s'appuyer sur les réseaux de Shick (50 millions de dollars de chiffre d'affaires annuel environ), entreprise racheté ce printemps par la maison mère nantaise, pour prendre pied outre-Atlantique.

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