Alors que le gouvernement français s'est donné jusqu'au 27 septembre, date du prochain sommet franco-italien pour trouver un accord sur la gouvernance des chantiers STX de Saint-Nazaire, Bruno Retailleau l'appelle à rester ferme sur ses positions.
Le président du conseil régional des Pays de la Loire demande que le groupe Fincantieri ne dispose pas de la majorité au capital, que l'emploi et les savoir-faire des chantiers de Saint-Nazaire soient sécurisés, que l'autonomie des chantiers en matière commerciale et de R&D soit préservée et que les entreprises ligériennes volontaires puissent prendre une participation minoritaire au capital de l'entreprise.