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Chez Max Digital Services, le recrutement est l'affaire de tous
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Chez Max Digital Services, le recrutement est l'affaire de tous

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Au sein de la start-up rennaise Max Digital Services, les dirigeants ont d'emblée adopté un management basé sur un modèle collaboratif. Les recrutements sont ainsi effectués après une décision unanime de l'équipe. Cette organisation a été récompensée par un Prix des ressources humaines 2018.

Anthony Poignant et Matthieu de Marolles, dirigeants de Max Digital Services, reçoivent un Prix des ressources humaines du Grand Ouest 2018, dans la catégorie start-up — Photo : Franck Gallen

« Avant même de créer l’entreprise, nous savions que nous ne voulions pas reproduire les schémas traditionnels. Notre volonté était de développer un modèle d’organisation plat, fondé sur la bienveillance, qui permette de garder chez nos salariés l’engagement et la motivation du premier jour », expliquent Matthieu de Marolles et Anthony Poignant, cofondateurs de Max Digital Services. Depuis 2016, les deux associés déploient ainsi au sein de l’entreprise rennaise de services numériques un mode de management collaboratif. Cette organisation a été récompensée par un Prix des ressources humaines Grand Ouest 2018. Le recrutement est ainsi l’affaire de tous. Pas un salarié (23 à ce jour pour 1 M€ de CA) n’est embauché sans une décision unanime. Un suivi individuel est destiné à faire progresser le collaborateur.

Outils collaboratifs

« Nous consacrons 80% de notre temps au recrutement et au suivi de nos collaborateurs », affirment les deux dirigeants. Un comité collaboratif réunit une fois par mois les équipes pour faire avancer tous les sujets de la vie de l’entreprise : marketing, RH, finance… Les décisions prises sont partagées via des outils collaboratifs, tels que Slack ou Trello. « Cela fait prendre conscience à nos collaborateurs que ce sont eux qui décident de l’avenir de l’entreprise », indiquent les deux associés. Quel pourrait être celui-ci ? « Nous estimons que notre modèle est viable jusqu’à 40 ou 50 personnes. Au-delà, il nous faudra trouver des porteurs de projet partageant notre envie de faire différemment pour déployer ce modèle sur d’autres villes », précise Matthieu de Marolles.

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