Deux ans après sa reprise par le groupe allemand Atlas, le fabricant de cabines d’engins de chantier TIM, basé à Quaëdypre, au sud de Dunkerque, rencontre de nouvelles difficultés. En cessation de paiements, il a été placé, fin août, en redressement judiciaire, à la demande de ses propriétaires, qui ont obtenu une période de six mois d’observation susceptible de leur permettre d’assainir la situation. Selon la direction, aucun licenciement ne serait à craindre au sein de l’entreprise de 310 employés. Une version qui laisse pour l’heure les syndicats dubitatifs.
TIM placé en redressement judiciaire
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