Le retour de la croissance au premier trimestre dépendra de l’instauration, ou non, d’un nouveau confinement. Selon l’Insee, le PIB peut repartir à la hausse d’1,5 % en début d’année, à condition qu’aucun durcissement des restrictions sanitaires ne survienne d’ici mars. En revanche, si une mise sous cloche du pays était décidée pour un mois, dans les mêmes conditions qu’en novembre, la croissance serait alors nulle. Et la récession perdurerait carrément (-1 %), si ce troisième confinement s’étendait jusqu’à mars. Pour l’instant, explique l’institut, l’économie s’est stabilisée. En décembre, comme en janvier, l’activité était à 4 % sous son niveau d’avant-crise. Elle "serait en quelque sorte restée sur un plateau, tout comme l’épidémie : les deux évoluent d’ailleurs en miroir depuis le début de la crise", note l’Insee.
Pas de croissance au premier trimestre 2021, en cas de troisième confinement
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