L’État desserre un peu le cordon de ses aides d’urgence. Au titre du mois de décembre, les entreprises ralenties par la cinquième vague de Covid-19 pourront accéder à deux outils distincts, a confirmé le ministère de l’Économie. Comme envisagé il y a deux semaines, il s’agit de la prise en charge intégrale du chômage partiel (dès 65 % de baisse de chiffre d’affaires) et l’aide sur les coûts fixes (à partir de -50 %). Mais, contrairement aux discothèques, indemnisées à 100 %, cette dernière sera limitée aux taux jusqu’ici en vigueur (soit une couverture de 70 ou 90 % des pertes d’exploitation enregistrées, variable selon la taille de l’entreprise), dans la limite de "12 millions d’euros par groupe sur toute la durée de la crise". Par ailleurs, les entreprises peuvent encore solliciter un plan d’apurement de leurs dettes de cotisations sociales, rappelle Bercy. Dans son communiqué, le ministère dit viser, avec ces mesures, l’événementiel, les traiteurs, agences de voyages et activités de loisirs en salle.
Coronavirus : les aides d'urgence à l'événementiel et au tourisme confirmées
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