La biscuiterie caramélerie Brieuc ouvre une 7e boutique à Nantes
# Agroalimentaire

La biscuiterie caramélerie Brieuc ouvre une 7e boutique à Nantes

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La biscuiterie Brieuc développe son réseau commercial avec l’ouverture d’une septième boutique de vente directe à Nantes.

— Photo : @DR

Fondée en 2000 par Séverine Pallu, puis rachetée par la famille Meuriot (ex-Stalaven), la biscuiterie caramélerie Brieuc, fabricant de spécialités et gourmandises bretonnes, va ouvrir une septième boutique permanente de vente directe à Nantes. « Nous sommes attachés à notre histoire bretonne et à la valorisation de notre patrimoine gastronomique, précise Franck Meuriot, directeur général. Nous avions à cœur d’ouvrir ce nouveau point de vente au cœur de la capitale de la Bretagne historique. Les travaux d’aménagement sont en cours pour un accueil du public courant juillet. »

Un investissement de 200 000 euros

La boutique nantaise, d’une surface de 75 m², reprend les codes qui ont fait le succès des boutiques Brieuc, construit autour de trois univers gourmands : la gamme des biscuits, palets individuels et gâteaux à partager ; la gamme des onctueux (caramels au beurre salé au sel de Guérande, pâtes à tartiner dont le Nutabreizh, Confibreizh riches en fruits) et la gamme Sélection Brieuc proposant des produits issus de producteurs partenaires. Plus de 200 000 euros sont investis par Brieuc dans ce projet qui sera niché au cœur des rues piétonnes de la Cité des Ducs.

La carte des produits locaux

Outre Nantes, qui ouvrira au public le 15 juillet, la biscuiterie caramélerie Brieuc (45 salariés, 4 millions d’euros de chiffre d’affaires) possède déjà un réseau de six boutiques en Bretagne : deux permanentes (Yffiniac et Saint-Brieuc centre-ville) et quatre saisonnières (Pléneuf-Val-André, Saint-Cast-le-Guildo, Dinard et Saint-Malo) désormais rouvertes pour la saison estivale. « Nos recettes sont sans additifs, élaborées comme à la maison avec les savoir-faire d’antan et des achats locaux, ajoute Franck Meuriot. 80 % de nos matières premières proviennent de producteurs situés à moins de 200 km de l’usine. »

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