Verkor annonce avoir formé un consortium, avec onze partenaires, pour développer de nouveaux cursus de formations professionnelles, du CAP au doctorat, afin de répondre au besoin de main-d’œuvre de la filière française des batteries. Plus de 70 formations initiales et une soixantaine de modules en formation continue seront proposées. Chaque année, cette "école de la batterie" devrait permettre de former 1 600 personnes. Le consortium est composé d’entreprises (Verkor et Corys), d’institutions (Tenerrdis), et d’établissements de formation (CEA par le biais de l’INSTN, Grenoble INP-UGA, Afpa, Campus des métiers Smart Energy System, HESAM université, IMT Grenoble, Pôle formation Isère et Université Lyon 1). Des entreprises comme Schneider Electric, Orano ou Phoenix Mobility trouvent également un intérêt dans le projet "tant pour répondre à leurs propres besoins que pour structurer l’écosystème français de la batterie", précise un communiqué. Le montant initial du projet est d’environ 20 millions d’euros, avec un soutien de l’État à hauteur de 13 millions d’euros.
