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Coworking : « On doit aussi partager une culture commune »
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Coworking : « On doit aussi partager une culture commune »

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L’agence de business développement Kosmoss a récemment ouvert un espace de coworking de 180 m2 au sein de ses locaux à Saint-Etienne. Explications avec l'un des dirigeants de Kosmoss.

Julien Legat (à gauche) et Sylvain Vallier, dirigeants de Kosmoss : « Nous cherchons des talents car l’idée est de créer un lieu propice à la fabrique de l’innovation » — Photo : Gilles Cayuela - Le Journal des Entreprises

« Ouvrir un espace de coworking dans son entreprise, ce n’est pas que partager des bureaux. On doit aussi partager une culture commune », assure Julien Legat. Avec Sylvain Vallier, l’ex cadre-dirigeant de Probikeshop vient d’ouvrir un espace de coworking au sein de l’agence de business développement stéphanoise Kosmoss.

Baptisé Le Chaudron, en référence au mythique stade Geoffroy-Guichard, cet espace de 120 m² accueille des coworkers nomades, qui ne peuvent pas y rester plus de trois jours par semaine. Des personnes triées sur le volet par Kosmoss. « Nous cherchons des talents car l’idée est de créer un lieu propice à la fabrique de l’innovation, mais nous nous assurons aussi que les coworkers correspondent à notre ADN, qu’ils partagent nos valeurs. Autant, ouvrir son entreprise peut avoir un effet booster, si c’est bien fait. Autant, cela peut être contreproductif si l’on ne s’y prépare pas correctement », développe Julien Legat. Pour éviter cet écueil, Kosmoss offre les premiers jours de coworking à ses futurs locataires, afin de « s’assurer d’une compatibilité réciproque ».

L’agence stéphanoise a aussi déterminé des règles de confidentialité avec un espace de 60 m² réservé aux salariés de Kosmoss. « Il faut déterminer ce à quoi on donne accès, ce qui est visible ou pas. Après on peut toujours venir frapper à la porte pour poser une question », précise Julien Legat.

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